A. Référence de la décision
- Cour de cassation,
- Ordonnance du 30 Novembre 2022
- Numéro d’inscription au répertoire général : 21-84.393
B. Parties
- Appelant :
- Wiko, société par actions simplifiée à associé unique
- Intimée :
- Algérika, société de droit algérien
C. Contexte et objet de la décision
- Litige relatif à la résiliation du contrat de distribution entre Wiko et Algérika.
- Wiko a résilié le contrat, et Algérika conteste cette rupture, la considérant comme fautive.
- Appel à la Cour de cassation concernant l’arrêt de la cour d’appel de Paris du 16 février 2021.
D. Moyens des parties
- Moyens de Wiko :
- Contestations sur la qualification de la rupture du contrat, soutenant qu’elle n’était pas fautive.
- Argument selon lequel les interprétations de la cour d’appel dénaturent les clauses contractuelles.
- Moyens d’Algérika :
- Demandes d’indemnisation pour préjudices économiques et moraux suite à la rupture.
- Réclamations concernant une évaluation incomplète de son préjudice par la cour d’appel.
E. Réponse de la Cour
- Rejet des pourvois principal et incident.
- La Cour estime que les moyens invoqués ne sont pas de nature à entraîner la cassation.
- Validation des motifs de la cour d’appel concernant la rupture fautive et l’indemnisation.
F. Conclusion
- Confirmation de l’arrêt de la cour d’appel de Paris.
- Wiko est condamnée aux dépens et toutes les demandes d’indemnisation de part et d’autre sont rejetées.
Publication à télécharger : https://www.courdecassation.fr/decision/export/63870301bf732905d49c5172/1